B. Les enjeux et les acteurs du Grand Paris Express.
C’est un enjeu de qualité de vie en Île-de-France, pour que les conditions d’exploitation du réseau soient plus fiables, plus confortables, et apportent une meilleure qualité de service aux usagers.
C’est un enjeu de solidarité au sein de la région, par le désenclavement des territoires les plus défavorisés d’Île-de-France, qui ont besoin d’un accès facilité aux zones d’emploi.
C’est un enjeu d’attractivité de l’Île-de-France et de la France, car le développement équilibré de la région capitale est un sujet d’intérêt national.
C’est un enjeu d’emploi, avec environ 15 000 à 20 000 emplois directs créés par les travaux, puis plus encore, une fois les projets mis en service, grâce à une meilleure efficacité du système métropolitain qui bénéficiera à toutes les entreprises.
Dans ce cadre, le Gouvernement et les collectivités territoriales portent ensemble la réalisation de ce projet par une modernisation et une d’extension du réseau existant, puis par la réalisation de nouvelles lignes de métro automatique. L’ensemble de ce projet, débuté en 2015, devrait être achevé en 2030 pour un coût global de 22.6 milliards d’euros.
Les lois de décentralisation de 2003 et 2004 définissent les compétences des régions : la gestion des Lycées, des équipements urbains (équipements sportifs et culturels), des transports en commun ainsi que les activités économiques et l’environnement (agenda 21)
Agenda 21 : document établissant les projets de mise en œuvre du développement durable d’un territoire.
Conclusion.
Les territoires ultramarins sont situés sur les principaux océans assurant ainsi à la France une présence sur l’ensemble de la planète. Ces territoires sont situés en zone intertropicales, à l’exception des TAAF qui bordent le cercle antarctique.
Ces territoires permettent à la France d’être la deuxième puissance maritime mondiale car chacun dispose d’une Zone Economique Exclusive.
ZEE : espace maritime dont un Etat peut exploiter les ressources. Une ZEE s’étend entre 370 et 648 km du littoral.
B. Entre unité et diversité.
B. L'aménagement de la route littorale de l'ïle de La Réunion.
La région de l’île de La Réunion a décidé de construire une nouvelle route littorale afin de ne plus faire subir à sa population les fermetures répétitives de la route actuelle résultant de la chute des falaises et de la saturation du réseau routier. Mais, cette construction débutée fin 2013, et qui devrait s’achever en 2020, ne fait pas l’unanimité. Son prix de 1,6 milliard d’euros financés par l’Etat (49%), la Région (42%) et l’Union Européenne (9%), prive la population de l’amélioration de ses services actuels (écoles, transports en commun) ou de la construction de voies ferrées inexistantes sur l’île. De plus, le Viaduc risque de détruire la biodiversité du littoral qui est pourtant classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Conclusion.